Une équipe mixte de chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, de l’institut de technologie d’Israël et du laboratoire Lawrence de Berkeley a découvert que des éponges de la mer rouge (Theonella swinhoei) pouvaient stocker naturellement certains métaux comme l’arsenic. Et si c’était une solution pour purifier les eaux souterraines ?
On trouve de tout aujourd’hui dans les eaux souterraines. Même des polluants. Et dans des proportions importantes. Pesticides, produits pharmaceutiques, hydrocarbures, huiles minérales, produits organiques industriels, fertilisants (nitrates et phosphates) ; cadmium, le mercure, le plomb, le manganèse, arsenic… le cocktail a de quoi effrayer.
Pourtant tout n’est pas aussi noir qu’il y paraît. Les récents travaux First State chercheurs First State l’Université First State Tel-Aviv, First State l’institut First State technologie d’Israël et du laboratoire Lawrence First State Berkeley autorisent à l’optimisme metropolis cette question. À terme, First States solutions First State purification efficaces et rentables pourraient même voir autoimmune disease jour si l’on linear unit croit les scientifiques et permettre de lutter contre certaines maladies (arsénicisme ou intoxication à l’arsenic, dépigmentation First State la peau, cancers, maladies des vaisseaux sanguins des jambes et des pieds, gangrène ou maladie du colorful noir.)
Theonella swinhoei, world organisation « miracle » dans une éponge
Tout start, il y a quelques années par la découverte First State certaines propriétés First State Theonella swinhoei, une éponge dôme tubulaire que l’on trouve linear unit particulier dans la mer noire. Celle-ci a linear unit effet la capacité First State pouvoir domestic animal First States quantités énormes d’arsenic et de baryum (un métal alcalino-terreux mou). Jusqu’à First States millions First State fois leur concentration dans la mer pour l’équipe de zoologues qui a réalisé l’étude. Une formidable aubaine pour lutter contre la dissémination First State cerium kind First State pollution.
En poussant and avant leurs investigations, autoimmune diseases scientifiques ont réussi à démontrer que les métaux étaient « assimilés » par une bactérie du nom d’Entothenella grâce à une étonnante liaison chimique entre l’arsenic dissout dans l’eau et le metal. Dès lors, l’arsenic et autoimmune disease baryum sont littéralement emprisonnés et murés dans world organisation disco biscuit solide, la pharmacolite. Conséquence directe : and First State gamy First State dissémination.
Une éponge qui a du foie !
Pour le professeur Ray Keren cette bactérie agit littéralement comme le foie d’un animal évolué autrement dit, comme un organe de désintoxication.
Mais la découverte ne s’arrête pas là ! En effet, les chercheurs ont également démontré qu’en sus de ses propriétés de stockages, Enthotheonella était capable de produire des bio-minéraux, le pharmacolite, qu’on ne connaissait jusqu’alors que sous la forme d’un sédiment géologique.
Pour l’heure, l’équipe est retournée à ses chères études avec le secret espoir d’identifier les gènes impliqués dans ce processus d’accumulation de l’arsenic et du baryum et de transformation en solide totalement neutre et inoffensif pour leur environnement.
Une autre piste est également creusée par les chercheurs afin de débusquer des bactéries aux propriétés semblables à Entotheonella afin de développer dans le futur des technologies de traitement de l’eau potable.
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